mercredi, septembre 13, 2017

Quelles Nouvelles ?!

Bonjour à toutes et à tous,

Comme tout blog qui se respecte, celui ci est dans une phase léthargique due et au fait que la vie se passe aussi - et surtout - hors des écrans, que pour le bdsm il vaut mieux être en réel qu'en virtuel ensuite et, enfin, qur nous n'avions rien de passionnant à raconter (ou, pour le moins, nous ne savions pas le raconter). Bref, pas d'excuses à donner, nous voilà de retour, remplis de bleus et de bobos qui font du bien :-)

Nos nouveautés bdsm son foison. Nous avons découvert les aiguilles, les sondes d'uretre, sommes allés en soirée sm, avons testé le poppers et allons de plus en plus avant dans nos jeux pas si dangereux que ça mais un peu quand même !

Les aiguilles ;

De manière étonnante, les jeux d'aiguilles - dont le principe de base est de planter des aiguilles transdermiques dans le corps du soumis - présentent assez peu de risques dès lors qu'on les entoure de l'hygiène et des précautions nécessaires. Ici, hors de question d'y aller à la casaque.  Mains lavées et desinfectees, lieu d'implantation désinfecté lui aussi, aiguilles creuses à usage unique, ... ne sont que les bases d'une pratique qui minimise les risques et permettent, dès lors, de pratiquer avec sérénité et plaisir (c'est le but premier, hein ?). Ensuite, comme dans toutes les pratiques sm, prendre son temps, ne pas hésiter à dire ce qu'on ressent (en tant que receveur ou donneur d'ailleurs) et, si ca ne plait pas, dire que ça ne plaît pas. Se forcer c'est prendre le risque de se tendre et rendre plus difficile l'insertion des aiguilles, difficulté qui s'accompagnera de plus de douleur (ce n'est pas un souci en soi) mais aussi de plus de saignement et d'un risque accrue de "mauvaise manipulation". Dire ce qu'on ressent, que ce soit positif (j'aime) ou négatif (je n'aime pas), dans le cadre de jeux de pouvoir comme nous les pratiquons, peut parfois sembler être une expression de faiblesse. Sauf qu'ici, ne pas dire qu'on n'apprécie pas (ou même ne pas dire qu'une situation ne semble pas sûre) peut mener à un vrai risque, risque qui ne sera assumé, il faut le reconnaître, par le receveur et par lui seul. Donc, comme en tout, communiquer et dire les choses est une absolue nécessité.

Je - gregor - ressens des choses surprenantes lorsque Sally plante des aiguilles en moi. De la douleur certes, mais rapidement est elle remplacée par une chaleur irradiante et douce. La sensation n'est pas que physique. Avoir des aiguilles en soi c'est accepter de ne pas "trop" bouger, sorte de bondage passif dans lequel un mouvement trop brusque ou mal mené peut créer une déchirure de la peau et s'avérer très douloureux. C'est là une de mes recherches dans ces jeux-là ; je suis attaché sans entraves, je décide de ne pas bouger car je ne sais pas ce qui pourrait arriver si je le faisais.

Après tout, n'est ce pas ma recherche ?

A vite,

Gregor

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