mercredi, janvier 16, 2019

La séance du 12 Janvier

Bonjour à toutes et à tous et aussi aux autres,

Chose promise, chose due ; Chacune de nos "grandes" séances (les mensuelles dont je parlais dans le dernier article) fera l'objet d'un compte rendu des activités et des ressentis de ma part, Sally répondant à ces articles pour apporter son regard.

L'idée est de nous offrir, à vous comme à nous, un espace de mesure des pratiques, de leurs réussites et de leurs échecs et, avouons-le, aussi un lieu d'excitation ;-)

Je commence, donc, avec la dernière séance en date, qui a eu lieu samedi passé 12 Janvier ;

14h30 :

Libérés de nos obligations familiales, le ménage est fait et la maison est en ordre. Sally m'envoie me laver et prépare ma tenue des prochaines heures.

Il s'agira d'un body d'infantilisation et d'une paire de rythmiques blanches, bien trop petites (du 41 là où je chausse du 45).

L'idée de base est de me montrer, par cette tenue d'une part d'autre part en me mettant le collier autour du cou, que je suis devenu sa chose, sa "salope", et que, dés cet instant, je n'ai plus mon mot à dire autre que "rouge" éventuellement (voir à propos cet article sur le safeword)

15h00 :

J'attends le bon vouloir de Sally pour faire quoi que ce soit. Elle ne me demande rien ni ne m'interdit rien, elle "joue" avec moi et ma patience. Je sais que je n'ai pas le droit de réclamer quoi que ce soit, ce serait pris tel une faute et puni. Donc je demeure en attente.

Ma tenue n'a pas changé d'un iota, je ne suis pas en chaleur, tant pis pour moi.

16h30 :

C'est avec le bandeau sur les yeux que Sally m'intime l'ordre de descendre au sous sol et de l'attendre au pied du lit conjugal.

Je comprends rapidement que je vais être entravé, Sally me passe les menottes aux mains et aux pieds

Sally me travaille les seins, d'abord doucement pour m'exciter puis, rapidement, les frappe et les étire, durement, au point que la boule de verrouillage de l'un de mes anneaux de tétons saute ... Très douloureux moment, malheureusement non illustré, mais dont, aujourd'hui encore ma poitrine se rappelle. J'adore ce traitement ; En effet, très sensible des seins, le travail de cette partie de mon corps est à la fois très agréable et très douloureux, il me procure ce que je recherche dans la pratique physique du BDSM sans encombre psychologique, du bien et du mal en même temps. Je pense que Sally le sait et, elle aussi, apprécie de m'infliger ce traitement ... elle sait le faire avec moult insistance des ongles, pincements et autres petites douleurs que'elle m'inflige ...

18h00 :

Après une bonne heure de ce traitement, Sally me fait écarter les jambes pour lui offrir un accès aisé à mon sexe. Les poids sont de sortie. Si je compte bien sur cette photo, il y a environ 1000 grammes qui sont pendus à mes organes génitaux.

Evidemment, ces poids ne seraient rien sans quelques bons
coups de fouet bien placés et bien distribués, chacun me faisant remuer et augmentant mécaniquement la peine due à ces masselottes astucieusement disposées. Ici encore, Sally fait preuve de beaucoup d'inventivité pour que je souffre juste ce qu'il faut ...

A propos de fouet, Sally m'a fait découvrir son nouveau jouet ... Il n'a pas encore de nom mais son côté "tout petit tout gentil" est une fausse image ...
Il est très agressif et claquant, me laissant de belles traces bien douloureuses encore aujourd'hui. Il faut absolument que nous lui trouvions un nom de baptême. Je propose "Petit Pimousse", qu'en pensez-vous ?



19h00 :

Les couilles bien étirées et douloureuses, Sally me fait me mettre à genoux et s'absente, une dizaine de minutes, faire je ne sais quoi. Elle sait que je déteste ces moments de "solitude" (relative, je sais bien qu'elle n'est pas partie en boite de nuit), pour plusieurs raisons. La première est très analytique, je n'aime pas la solitude. La seconde est très pragmatique ; Nous pratiquons rarement et je n'aime pas "perdre de temps" dans les pratiques. C'est sans doute très égoïste, mais je préfère "optimiser" le temps de jeu, c'est la raison pour laquelle, souvent, j'aime quand une séance démarre alors que "tout est fait" dans la maison, je parle là de charges basiques et très vanille telles que le ménage, la vaiselle, le linge, ... bref, j'aime pouvoir me consacrer à 100 % aux jeux du moment et ne pas avoir à penser "tiens, il y a le linge à sortir du sèche linge" pendant que je suis sodomisé ; Mine de rien, ça coupe un peu l'excitation :-)

Revenue de son absence, j'entends que Sally allume un briquet. Nul doute qu'elle va vouloir jouer de la bougie, aucun de nous n'est fumeur d'une part, d'autre part nous n'avons pas de bâtons de dynamite dans la maison et, enfin, ce n'était pas notre anniversaire à l'un ni à l'autre. Bref, la cire et le "wax play", absente depuis très longtemps de nos jeux, font leur grand retour, non pour me déplaire, même si je ne suis pas un adepte absolu de ces jeux.

Je suis assez sensible aux "petites douleurs" telles que les sensations de la cire sur ma peau. Je supporte la douleur mais j'ai besoin d'être détendu autant que possible pour apprécier ces jeux. Et, malheureusement, j'ai beaucoup de mal à me détendre ... c'est le moins que l'on puisse dire. Mais je vais arrêter de me plaindre, d'une part je suis demandeur de ces jeux, d'autre part c'est à Sally et à elle seule de décider quel jeu est joué au moment où il est joué.

La symphonie de couleurs et de chaleur démarre. Je suis toujours très surpris par la première goutte de cire, quand bien même je sais qu'elle ne tardera pas. La cire chaude m'apporte une sensation de morsure, quelque chose qui est à la fois très superficiel et profond, venant en même temps de l'intérieur de mon être et agression extérieure. Le "souci" aujourd'hui est qu'il faisait assez frais dans la pièce de jeu que notre chambre était devenue et que froid superficiel et cire chaude n'ont pas fait bon ménage dans mes sensations. J'avais beau faire en sorte de "rentrer dans le truc", j'avais le plus grand mal, Sally s'en est aperçue et j'ai gâché sans doute son plaisir, j'en suis désolé, en ne prenant pas autant de plaisir qu'elle aurait aimé que j'en prenne alors.

La prochaine fois, sans doute !

20h00 : 

Les pieds attachés et enchaînés, Sally m’entraîne à l'étage supérieur de la maison, pour un de l'humiliation comme j'aime la ressentir. A quatre pattes au sol, elle me fait porter un bâillon boule en caoutchouc qui inévitablement me fait énormément baver. Elle utilise un bol pour récolter ma salive et me la verser sur le corps. Elle sait, alors, me montrer quelle salope je suis, à quel point j'aime être traité d'objet puéril et inutile. C'est précisément ce que je ressens lors de ces instants de jeux, je suis son jouet, rien que et seulement son jouet, je n'ai plus ni mon mot à dire ni mon opinion à avoir, je ne vis que par Sally et ma seule utilité en ce moment est de lui donner plaisir et contentement.
Cette humiliation est une envie récurrente dans ma vie de soumis. J'aime ce jeu psychologique (bien qu'il soit souvent accompagné d'accessoires tels que ceux d'aujourd'hui) qui me met là où, intrinsèquement (Allô, Tonton Freud ?) j'ai ma place, je le crois. Jouer avec la salive qu'elle récolte est emblématique d'une éjaculation non orgasmique, c'est recouvrir mon corps d'un sperme qui ne m'aura pas même apporté de plaisir. Je jouis énormément intellectuellement pendant ces moments d'humiliation, je pense que Sally le sait et elle s'en sert, elle utilise toujours un champs lexical et un ton de voix très "sec" et qui n'autorisent pas la moindre réponse. 

C'est au cours de cette séance que Sally me fera lui lécher le sexe jusqu'à ce qu'elle prenne du plaisir, j'espère qu'elle aura eu le plaisir qu'elle attendait lors de ce cadeau qu'elle m'a fait en me demandant de lui lécher la chatte.

Je suis SA salope, point final.

21h00 : 

Sally se lève et me demande de mieux me cambrer. Je sais qu'alors, en général, c'est avec mon anus que Sally jouera. Cambré aussi bien que je le peux, elle étale du lubrifiant sur mon trou, enfin, lubrifiant ... Sally utilise un baume au camphre, gras. S'il a les caractéristiques physiques de la
vaseline, il a aussi la particularité de chauffer rapidement et fortement la zone sur laquelle il est étalé, en occurrence mon anus. Sans aucune douceur, Sally me pénètre avec celui que nous avons surnommé "Poulpy" car il a une forme de tentacule de poulpe, avec les ventouses et tout. Il mesure une bonne dizaine de centimètres de diamètre à la base pour 25 centimètres de long.

C'est donc avec ce tentacule que Sally va maintenant jouer de moi, me donner à la fois du plaisir, de l'embarras et de la douleur, selon ses envies et ses humeurs. 

Sodomisé, Sally utilisera à de nombreuses, très nombreuses, reprises les chaussons que j'aurais portés presque toute la séance durant pour me frapper avec violence les fesses, les amenant au rouge cramoisi avec énormément de succès.

Lorsqu'elle aura trouvé ma prostate (à propos, il faut vraiment que je teste le massage direct de la prostate, ce que je lis à propos me donne une envie folle de jouer de cette glande), Sally me demander de me mettre sur à genoux et de me branler, dans un chausson de gymnastique. Peu pratique en termes de place et de mouvement du poulpe dans mon anus, Sally m'ordonne donc de me mettre sur le dos pour terminer.

Cette position est bien plus pratique, tant pour qu'elle stimule directement ma prostate - ce que Sally fera avec grande violence, mon anus s'en souvient - que pour que je puisse me branler. Lorsqu'elle insistera sur ma prostate, peu de temps sera nécessaire à ce que la salope que je suis n'éjacule et jouisse, très très fort, je vous le garantie. Sally, pendant cette masturbation, ne manquait pas d'ajouter de l'humiliation, me faisant respirer l'intérieur de mes chaussons de gym et me demandant de commenter ce que cela sentait. Comble de l'ironie, et cela Sally l'ignore, éjaculer dans ces chaussons est l'un de mes fantasmes depuis l'adolescence ... et j'ai loupé cette éjaculation ! Tout mon sperme s'est lamentablement étalé sur mon ventre, pas une seule goutte dans ces rythmiques.

Actes manqués, avez vous donc une âme ??

Evidemment, c'est avec mes mains que je nettoierais ce sperme et l'avalerais, comme à l'accoutumé.

L'appel de la faim nous fait suspendre cette séance, imaginant dans un premier temps que nous y retournerions après nous être sustentés. Comme d'habitude, le repas passant, le rythme est brisé et nous ne nous y remettrons pas après les agapes ... une prochaine fois sans doute !

Sommes nous les seuls qu'une interruption un peu longue - notamment de repas - coupe dans leurs élans BDSM ? Nous avons expérimenté plusieurs solutions et, sauf à maintenir le jeux au cours du repas (ce que nous avons fait une fois et que j'ai fort apprécié) s'y remettre après manger est quasiment impossible. Et  vous ? 

En résumé ; 

Une séance assez courte, remplie de différentes activités mais qui, à mon goût manquait un peu d'humiliation, d'une part, de coups d'autre part. Beaucoup aimé le jeux de poids et le port des chaussons, j'aimerais arriver à éjaculer dedans rapidement !

La note du jour : 7.5/10

Allez .. Je vous laisse commenter, je laisse Sally apporter sa vision en commentaire ...

Bonne Journée, 

Gregor !

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